29 octobre, 2004

Le journalisme est-il soluble dans le wiki ?

Par Cyril Fievet
Serait-il possible d'appliquer le principe de Wikipedia - un nombre illimité d'internautes qui contribuent collectivement et bénévolement à l'élaboration d'un vaste contenu libre de droits - non plus à un contenu encyclopédique, mais à l'actualité et à la presse ? La question n'est pas neuve, mais a fait renaître le débat récemment. Certains estiment que le modèle est applicable, et réflechissent à la création de Wikinews, un service qui transposerait le modèle Wikipedia à l'actualité en général. Le projet consisterait donc à "produire des reportages" ou à "synthétiser l'actualité", de façon collaborative, tout en adoptant "! ;un point de vue neutre". La communauté wiki doit donc se prononcer sur la question, et décider de façon collégiale du lancement du projet. Une page wiki destinée à recueillir les votes a été ouverte le 22 octobre et totalise aujourd'hui 86 votes "pour" et 26 "contre". Joi Ito, pourtant fervent évangélisateur du principe de wiki, est opposé au projet, en tout cas de son lancement par Wikimedia (qui gère la production de Wikipedia) :
"Je pense que Wikinews est une idée formidable et une noble expérience. Quelqu'un doit le faire. Mais mon inquiétude est que cela change l'esprit qui anime les wikipédiens, qui oeuvrent pour le bien commun de la communauté. Concurrencer les encyclopédies est une chose. Concurrencer les journalistes en est une autre."

Microsoft ouvre aux développeurs open source son logiciel de "wiki"

L'éditeur de Redmond a mis à disposition sur le site spécialisé Sourceforce.net son logiciel FlexWiki. Il permet de créer des "wikis", sortes de blogs ouverts à un nombre illimité d'utilisateurs.

Pour la troisième fois cette année, Microsoft fait une incursion dans le domaine du développement collaboratif. L’éditeur met à disposition, sur le site open source Sourceforge.net, le code de son logiciel FlexWiki. Il permet de créer des "wikis", ces pages web facilement conçues et qui traitent d’un sujet spécifique. Leur principe est semblable à celui des web logs (blogs), excepté qu’un nombre illimité d’utilisateurs peut venir ajouter du contenu et le modifier rapidement, l’enrichissant en permanence.

FlexWiki, régi par la licence Common Public License (CPL), a été conçu par les équipes de Microsoft. La firme s’en est servie en interne pour créer une partie de son site "Channel 9", sorte de plate-forme qui rassemble notamment des blogs, des wikis et des forums pour développeurs.

Microsoft a déjà déposé sur Sourceforge.net deux autres applications: WiX (Windows Installer XML) en avril; puis WTL (Windows Template Library) en mai. Ces deux initiatives ont rencontré un certain succès. Quelques mois après leur mise à disposition sur Sourceforge.net, ces logiciels figurent dans le top 5 des projets les plus actifs sur le site, souligne Microsoft. Ainsi, 100.000 copies de WiX et 20.000 copies de WTL ont déjà été téléchargées.

Les réactions à l’incursion de Microsoft sur le site open source ont été relativement neutres, indique Patrick McGovern, directeur de Sourceforge. «Elles n’ont pas été positives de façon écrasante, mais pas non plus incendiaires».

L'éditeur a mis en place deux programmes différents permettant d’avoir accès au code source de ses applications. D’un côté, il l'ouvre totalement à des fins de travail collaboratif. De l’autre, il en entrouvre une partie pour les institutionnels notamment. Des gouvernements et universités y ont ainsi déjà eu droit, à des fins de consultation uniquement; ils ne peuvent pas modifier le code.

Jason Matusow, directeur du programme "Shared-source" (source partagée) chez Microsoft, explique que l’éditeur compte étendre sa participation dans ce domaine. Mais à pas mesurés, pour bien assimiler les us et coutumes des communautés open source. «L’une des tâches les plus difficiles pour nous est de comprendre le processus collaboratif», indique-t-il. «Le principe d’une communauté est de donner et de prendre. Même si vous comptez rejeter une suggestion qu’une personne vous fait, vous devez l’étudier».

28 octobre, 2004

Observatoire des mobiles

L'Autorité de Régulation des Télécommunications (ART) vient de rendre publics les chiffres de son dernier observatoire des mobiles pour le troisième trimestre 2004 achevé fin septembre. Sur cette période, l'ART recense 626.800 nouveaux clients des services de téléphonie mobile. Ce qui porte à 42,89 millions le parc d'utilisateurs français de la téléphonie mobile.

Le taux de pénétration de la téléphonie mobile atteint les 71,1 % de la population française. Le pays est donc à la traîne par rapport à ses voisins, puisque l'Europe des 15 devrait afficher une moyenne de 81 % de pénétration de la téléphonie mobile en 2004. Comme on peut s'y attendre, les taux de pénétration de la téléphonie mobile varient considérablement selon les régions.

25 octobre, 2004

RFID cell phones take shape at Nokia

Nokia is at work on a cell phone that uses controversial microchips used to store product information and signal their location, the cell phone maker announced Sunday, reports News.com.


"For instance, retailers could put RFID-embedded "touch phone here" signs on store shelves to send a coupon to the phone, or put the same sings at checkout stands to instantly transfer personal information stored on the phone in order to complete a warranty, Nokia Director Gerhard Romen said.

"It's still very early yet," Romen said Sunday when asked when RFID phones may become commercially available."

"One snag facing RFID is privacy concerns. Consumer advocates say the unchecked spread of the devices in libraries and elsewhere could spell disaster for privacy. They envision a future in which a network of hidden RFID readers track consumers' every move, their belongings and their reading habits, though most agree that such a scenario is largely impossible today for technical reasons".

22 octobre, 2004

Kameleon : une puce qui envoie des contenus multimédia via Bluetooth

Daniel Moreno a-t-il trouvé son digne successeur ? Il est un peu tôt pour l’affirmer, mais Fabien Beckers, PDG de la société Kameleon, pourrait être inscrit sur la liste. Depuis six semaines, le musée de cire Tussaud, à Londres, a camouflé près de ses sosies célèbres une puce qui transfère aux visiteurs, via Bluetooth (ondes radio de courte portée), des informations multimédia sur les mannequins qu’ils observent.

Muni d’un processeur ARM 9, de 32 Mo de mémoire et d’un connecteur Bluetooth, le système Kameleon permet ainsi de transférer en quelques secondes des informations multimédia aux détenteurs de téléphones mobiles ou agendas électroniques qui déambulent à quelques mètres de son emplacement. Seule nécessité : que les terminaux mobiles soient également Bluetooth ! Prouesse technologique, l’interconnexion se fait en 0,2 seconde, contre environ 10 secondes habituellement.

Conçue à l’origine pour aider les personnes mal voyantes à mieux se repérer dans une ville, la puce Kameleon a un vaste champ d’applications possibles comme le transfert d’extraits de film, de musiques, de présentations produits, relatifs au contenu d’une affiche publicitaire. La France va faire un essai avec les films. La technologie Bluetooth pourrait toutefois vite se voir concurrencer par le RFID…

19 octobre, 2004

VirginMega WiFi

UNE PREMIERE A LA GARE DU NORD ET CHEZ ADP...

Aujourd’hui, grâce à la technologie WIFI 802.11b, un débit théorique de 11 Mbps par seconde est possible, c’est-à-dire 20 fois plus rapide qu’une ligne ADSL ou câble classique. Dans un avenir proche, la technologie WIFI 802.11a ou g permettra des débits théoriques de 54 Mbps.

Grâce à VirginMega, spécialiste de la distribution numérique de produits culturels, les voyageurs munis d’un PC portable WIFI pourront désormais accéder à des services multimédia disponibles à partir de serveurs connectés au réseau WIFI de la gare du Nord ou de l’aéroport Charles de Gaulle, sans passer par le réseau Internet et ainsi bénéficier directement de la vitesse du réseau WIFI local.

Le projet VirginMega WIFI, en gestation depuis l’été 2001, s’est focalisé, dès le début, sur des services à haut débit, différents ou plus performants que ceux disponibles aujourd’hui sur Internet :


WIFI TV : Différentes chaînes de télévision ( LCI, MCM2, MATCH-TV ) en direct « streaming » plein écran sur votre portable en utilisant la technologie de la start-up française Streamwide.
WIFI Ciné : Téléchargement à la vitesse WIFI de longs métrages ( UNIVERSAL ), feuilletons, émissions de télévision, concerts, clips musique ...
Et bientôt : WIFI musique / jeux / livres : en téléchargement rapide.


Les utilisateurs itinérants pourront accéder aux services VirginMega WIFI par les portails WIFI de la SNCF et ADP, sans installation de logiciel particulier d’accès pour les PC portables récents.

La SNCF, ADP et Hachette Distribution Services (opérateur des magasins RELAY et VirginMega), partenaires commerciaux de longue date, ont uni les expériences et les savoirs de leurs équipes WIFI pour donner vie à un rêve et en faire une expérience réelle et fascinante.

Par le développement du service VirginMega WIFI, c’est une offre novatrice et amusante qui est proposée aux internautes itinérants : WIFI n’a pas fini de les surprendre !

Streamwide (live streaming et DRM)
Planete Interactive (web agency)

Images Tactiles

Avez-vous déjà "touché" des images avec votre souris ? Non ? Alors essayez ça vaut le détour sur le site de l'INRIA

14 octobre, 2004

WiFi dans plus de 50% des hotels aux USA

Si le pourcentage d’hôtels américains ayant équipé leurs chambres de télévision par câble ou satellite est passé de 69 % en 1998 à 98 % en 2004, la disponibilité du branchement Internet haute vitesse a aussi connu une forte augmentation entre ces deux dates, passant de 7 % en 1998 à 50 % en 2004. Ce pourcentage est en outre encore plus élevé dans les établissements de catégories supérieures, catégories que l’AH&LA définit de la façon suivante : « luxury chain hotels » (88 % des chambres et 89 % des salles de réunion), « upper upscale hotels » (75 % des chambres et 73 % des salles de réunion), « upscale hotels » (73 % des chambres et 72 % des salles de réunion) et « midscale hotels » (54 % des chambres et 45 % des salles de réunion).

Le sondage indique en outre qu’un nombre important d’établissements hôteliers optent désormais pour des connexions Internet sans fil : « upper upscale » et « upscale hotels » (50 % des chambres), « luxury hotels » (42 % des chambres) et « midscale hotels » (38 % des chambres).

13 octobre, 2004

Its not Wi-Fi vs 3G…. but Wi-Fi + 3G = ? October 2004

It seems that the “Wi-Fi vs 3G” debate is almost over, as the world’s big mobile operators roll out their 3G networks with different strategies for incorporating Wi-Fi. It’s now “Wi-Fi + 3G = ??”

The most radical form of convergence is at the network level. The US institution Cal(IT)2 is deploying a Wi-Fi/3G gateway for emergency applications. The gateway decides whether to use its Wi-Fi AP or 3G network according to network availability, with Wi-Fi preferred for higher data rates. This isn’t a strategy that works particularly well for mobile operators – 3G base station locations aren’t a great fit with the radio characteristics of Wi-Fi.

Convergence is also taking place at the OSS / platform level. For example, Mobilkom Austria launched converged Wi-Fi/cellular services in February this year, integrating payments, back-end and OSS with its 3G, 2G and GPRS services. In an analogous move, players like Orange France are integrating packaging and branding of Wi-Fi with their cellular services. O2 UK has launched a single-platform GPRS, WLAN and 3G data access service called “O2 Connection Manager”. Read Hugh Griffith’s article in this month’s Unplugged for more detail.

A rather more aggressive approach has seen T-Mobile become the number one European public Wi-Fi player. T-Mobile Hotspots have had largely separate branding and distribution from T-Mobile’s cellular businesses, but CEO Rene Obermann announced a single multi-speed network in Feb 04, which may or may not imply a more traditional approach in the future.

In contrast, Vodafone UK and Orange UK are pushing 3G only as the main mobile data technology. It’s known that both companies have made moves in the Wi-Fi market, and it will be interesting to see how they position Wi-Fi in their future offerings.

From a user’s point of view, the most important type of convergence takes place in the device. First of all, PC-oriented devices. As usual, there are two ways of handling convergence. There’s “true convergence” at the chip level (and Intel announced a new Wi-Fi / 3G chip in August). Or there’s “integration”, ie multimode PC cards. T-Mobile is also active in this form of convergence, having announced its rollout of 3G Wi-Fi / GPRS PC cards from Option (www.option.com) in July this year.

Secondly, voice-oriented handsets. DoCoMo recently brought out integrated WLAN/3G/VoIP handsets, a typically bold move considering the multiple possibilities for revenue cannibalisation. It is highly unlikely that any European mobile operator will follow suit any time soon, considering the cash generated from circuit-switched voice calls over mobile networks. There’s also the very important Fixed Mobile Convergence Alliance pushing towards integration of fixed and mobile voice handsets – how long before VoIP over Wi-Fi becomes a replacement technology for the fixed component?

For the industry, I think the fun really starts in the commercial sphere, once you’ve decided how you’re going to integrate Wi-Fi and 3G. For example:

Roaming and national roaming: Can WISPs piggy-back onto 3G and GSM roaming agreements? Can a WISP have a national roaming agreement so that it bills a 3G data session in non-Wi-Fi areas? What will be the interconnect / wholesale pricing model across GPRS, 3G and Wi-Fi?

Pricing: If the customer can’t tell which network they’re using, how do they know how much it costs? Will this kill the relatively high flat-rate pricing of the hotspot operators, or mess instead with the per kilobit pricing of the 3G operators? See the Planet Wireless article in this month’s Unplugged for analysis of KPN’s and T-Mobile’s pricing plans.

I’m looking forward to hearing what both the WISPs and the mobile operators think at the Wi-Fi Business Development Summit in Paris on 26-27 October. Hope you’ll join us.

Nokia teste le P2P sur mobiles

Il est des technologies, pourtant au point, qui restent dans les laboratoires industriels pendant des années simplement parce qu'elles mettent en péril un business. C'est précisément le cas de la technologie du peer-to-peer sur téléphones portables, qui devant les pressions de l'industrie musicale et filmique ne devrait pas voir le jour de si tôt.

Selon le magazine New Scientist , le finlandais Nokia a réussi à créer un réseau peer-to-peer entre téléphones portables (modèles 6600) dans son centre de recherche basé à Budapest. S'échanger des titres musicaux et des vidéos par téléphones portables comme nombre d'utilisateurs le font déjà sur leur PC : la pratique a-t-elle de l'avenir ?

Du point de vue des usages, certainement : s'échanger des sonneries, des clips, des films… sur des appareils disposant d'écrans assez larges pour assurer un confort de vision, quoi de plus séduisant ? Sauf qu'avant que cette pratique soit possible, il va falloir surmonter deux obstacles majeurs :

1) Les limites technologiques des téléphones portables, qui disposent de moins de capacité de stockage et de moins d'autonomie qu'un PC de bureau. Même si les téléphones équipés d'un disque dur promettent d'arriver bientôt sur le marché (voir notre article du 08.09.2004 ), il y a encore des efforts à faire sur la puissance des batteries…

2) La surveillance des majors, qui tirent de plus en plus de revenus, par exemple, de la vente de droits sur les sonneries de téléphones portables particulièrement prisées par les jeunes utilisateurs de mobiles… Sans parler des fichiers musicaux et vidéo, dont l'échange gratuit d'ordinateur à ordinateur est le cheval de bataille des industries filmique et musicale, déjà prêtes à tout pour faire interdire les réseaux de type Kazaa ou Grokster.

Devedjian autorise les brouilleurs de téléphones portables dans les salles de spectacle

Les spectateurs lassés d’entendre sonner des téléphones portables pendant qu’ils assistent à une représentation théâtrale ou qu’ils sont confortablement calés dans le fauteuil d’une salle obscure ont dû être ravis par la nouvelle ; le ministre délégué à l’Industrie Patrick Devedjian a en effet autorisé les dispositifs rendant inopérants les téléphones mobiles dans les salles de spectacle et les salles de cinéma.

A deux conditions : que ces « brouilleurs » ne détériorent pas les appels passés par des utilisateurs en dehors de l’enceinte de la salle, et qu’ils n’empêchent pas l’émission d’appels vers des services d’urgence.

Cela tombe bien, puisque des dispositifs supportant ces deux contraintes existent. Désormais autorisés par un décret pris par le ministre le 10 octobre dernier, ils devraient ravir les responsables de salles de spectacles, et plus particulièrement l’industrie filmique qui souhaitait les utiliser depuis longtemps.

Moins heureux, les opérateurs de téléphonie mobile. Ceux-ci se sont dit soucieux des problèmes de sécurité qui pouvaient être causés par ces brouilleurs, en cas de dysfonctionnement… Plus honnêtement, certains professionnels ont fait savoir qu’ils s’inquiétaient des possibles débordements du périmètre d’action de ces brouilleurs.

Pour l’heure, ces effets sont plutôt difficiles à prévoir. Il faudra attendre l’installation des brouilleurs pour en juger.

12 octobre, 2004

Intel joins Symbian camp

Intel, Nokia and Symbian announced tTuesday a collaboration to bring smartphones based on the Nokia Series 60 Platform to market using Intel technology as part of Intel's recent membership in the Nokia Series 60 Product Creation Community.

Also, Intel and Symbian have agreed to invest in the joint development of a reference platform to enable a new class of 3G devices based on Symbian OSand Intel XScale Technology.

Up to this point Xscale-based mobile devices have been mainly on Microsoft’s mobile operating systems.

The Series 60 Platform is licensed by some of the foremost mobile phone manufacturers including Lenovo, LG Electronics, Nokia, Panasonic, Samsung, Sendo and Siemens.

As part of its new role as a member of the Series 60 Product Creation Community, Intel will complement the Series 60 Platform by providing high performance and low power processing to enable mobile browsing, multimedia messaging and content downloading, as well as a host of personal information management and telephony applications. The Series 60 Platform is the latest smartphone user interface to be supported by Intel technology.

Also, Intel and Symbian are investing in the co-development of a reference platform. The development agreement focuses on building the first 3G reference platform that utilizes Intel's and Symbian's expertise in smartphone technology. The reference platform will enable mobile phone manufacturers to create differentiated handsets while significantly reducing development time - speeding delivery of new phones to market.

"The next generation of handsets for 3G networks will require a platform approach that couples low power and high performance with robust application development," said Sam Arditi, general manager of Intel's Cellular and Handheld Group.

"Intel's wireless platforms combine leading-edge hardware with Intel's decades of experience in creating application ecosystems for data networks. Working with Nokia and Symbian to help bring Series 60-based devices to market means that developers and phone manufacturers will have new compelling tools to deliver on the promise of 3G."

"We are delighted that Intel is joining the Series 60 Product Creation Community," said Antti Vasara, vice president, Nokia Technology Marketing and Sales. "The wide adoption of Series 60 Platform and Symbian OS by key wireless technology providers such as Intel is essential for providing competitive solutions for the smartphone market. By joining forces with Intel, Nokia has an additional compelling Series 60 3G offering for handset manufacturers, operators and developers around the world."

"We are delighted with the collaboration between Nokia, Intel and Symbian to develop a 3G reference platform," said Symbian CEO David Levin. "This co-development marks a deepening of the relationship between Intel and Symbian. By utilizing reference platforms from semiconductor technology providers such as Intel, Symbian OS licensees will be able to focus their energies to develop an even wider variety of differentiated, competitively priced Symbian OS products that meet the specific needs of the market and their network operator customers."

11 octobre, 2004

Tous des « nerds »… dans la Silicon Valley ?

Cet article remue quelques souvenirs de mon expatriation dans la Silicon Valley :

La Silicon Valley a ses rituels immuables. Le vendredi le San Jose Mercury News - le journal de la Valley – publie son supplément « Frys ». Frys*, le magasin où tous les fondus de nouvelles technologies se retrouvent le samedi… Ici, on les appelle les « nerds ». C'est même un des premiers mots que j'ai entendu en parlant avec des ingénieurs américains d'une start up de Sunnyvale. J'ai rapidement été qualifié de « nerd », parce que je me passionnais par la technologie qu'ils étaient en train de développer…

Nerd : le dictionnaire on-line Reverso, bien connu à l'Atelier, propose « ballot » comme traduction. Peu satisfaisant a priori…

C'est sur le site de l'autre journal de la Valley, le San Francisco Chronicle (sfgate.com), que l'on trouve une explication plus plausible du mot. Mais tout aussi exotique – comme peuvent l'être pour nous les expressions américaines. Le terme, qui désigne en fait les ingénieurs des entreprises technologiques, et par extension tous les « accros » de tout ces gadgets électroniques qui font notre bonheur sur le site de l'Atelier, vient d'un poème publié en 1950 par un certain Docteur Seuss : « If I ran the Zoo ». Si je dirigeais le Zoo…

Tout un programme dans ce titre…On trouve sur Internet une partie de ce texte** poétique et délirant, qui qualifie finalement assez bien l'attitude de ces visiteurs de Frys… Le mot lui-même est évoqué à la fin du poème, dans une envolée lyrique digne des meilleurs écrivains de l'époque surréaliste ***.

En fait, vous trouverez dans la Silicon Valley deux sortes de nerds, évoluant dans deux zoos aux caractéristiques bien distinctes.


Il y'a d'abord les nerds que l'on retrouve le samedi dans les fameux magasins Frys , et qui vivent et travaillent au cœur même de la Silicon Valley. Créés en 1985 par les trois frères Fry à Sunnyvale, au cœur de la Silicon Valley, ces magasins géants (le magasin historique fait la taille d'un hyper marché français…) se sont rapidement développés. Il y en a maintenant 28, qui couvrent globalement toute la Silicon Valley et s'étendent sur les Etats voisins.

Chez Frys, on trouve tout ce dont peut rêver un ingénieur. Construire son propre ordinateur est ici un jeu d'enfant, et vous dénichez par exemple des centaines de coques pour construire les tours personnalisées les plus folles : en forme de vaisseau spatial, avec des éclairages de toutes sortes, etc. Les vendeurs, en très grand nombre, sont tous spécialisés et capables de vous parler des heures des avantages de tel processeur et de telle nouvelle puce, qu'ils ont bien entendu en stock.

Du PDA dernier cri à la TV grand écran plasma, en passant par des milliers d'ordinateurs, tout est disponible ici. Parmi les ordinateurs les plus chers, on trouve d'ailleurs ceux développés par les équipes de Frys elles-mêmes, avec des coques recouvertes de miroirs, et un logo Frys rouge lumineux au milieu : nous sommes bien loin du design épuré d'Apple…Les fondateurs de Frys ont voulu créer des magasins regroupant en un seul endroit (« one stop shopping ») tout ce dont pouvait avoir besoin un nerd de la Valley…Le plus petit magasin dispose en stock de pas moins de 30 000 références…

Aller chez Frys le samedi, c'est mieux comprendre le mode de consommation du nerd de la Silicon Valley. Car on ne fait pas qu'acheter, chez Frys : on emprunte beaucoup aussi. Besoin d'un GPS pour le week end ? Vous le trouverez chez Frys et le rendrez à votre retour. Le nerd de la Silicon Valley teste à peu prêt tout ce qui sort. La politique de retour des achats volontairement laxiste de Frys vous donne un mois pour retourner votre gadget si vous n'en êtes pas satisfait.

Ainsi, lors d'un week end de marche à Big Sur (là encore, une activité très à la mode chez les nerds de la Valley), un coéquipier nous a recommandé la plus grande attention avec les talkies walkies dont nous étions équipés pour éviter de nous perdre… Car il comptait bien les ramener dés le lundi matin.

Bien différente est la deuxième catégorie de nerds. Elle vit à San Francisco et travaille dans la Valley. Ce sont eux que l'on retrouve le matin à partir de 7 heures sur la 101 qui traverse toute la Bay Area. Ils « commutent », selon l'expression consacrée ici….

D'abord, il n'y a pas de Frys à San Francisco. Les nerds d'ici, tout aussi nombreux, se rendent religieusement le samedi matin à l'Apple Store situé à l'angle de Market et de Ellis Street, l'un des plus grands au monde. Ici, on ne construit pas son ordinateur. On admire les dernières nouveautés, dans un magasin au design épuré et dont la façade évoque clairement le design des ordinateurs et différents packaging de la marque à la pomme ****.

On vante les mérites de la dernière borne Airport Express, qui permet de transférer via WiFi la musique de son iTunes et de son iPod à sa chaîne Hifi. On s'extasie devant le tout nouvel iMac G5, déjà en rupture de stock après quelques jours de commercialisation. On trouve tous les accessoires nécessaires à son iPod : de la coque de couleur, au transmetteur permettant d'écouter sans fil sa musique sur la bande FM de son autoradio…

Surtout, plutôt que de se concentrer sur ce qu'il y a dans l'ordinateur, on est fasciné par ce qu'il peut faire. Les nerds de San Francisco assistent en masse dans le grand amphithéâtre du magasin aux cessions magistrales organisées par les programmateurs d'Apple pour apprendre à parfaitement maîtriser le nouveau logiciel de création musicale Garage Band, ou les nouveautés de Quick Time Pro.

Le soir, dans ce même amphithéâtre, on vient écouter les derniers DJs à la mode, qui mixent sur Mac ou voir des expositions d'art numérique. Et on prend rendez-vous avec un spécialiste, pour se former ou régler tout problème avec son ordinateur, au Genius Bar. Le bar des génies… Ici, ce n'est pas le génie de la technique qu'on vénère, mais celui du marketing, qui nous promet un Digital Hub fondé autour de Mac OS X, le système d'exploitation maison.

Au nerd qui se retrouve dans un Frys désordonné, où tout est a créer et à inventer, à l'esprit pionnier et au mythe du garage de HP fortement ancré, s'oppose un nerd plus cultivé, avec une vision technologique plus policée, plus aboutie, plus orientée vers les usages. Et si au final, Apple a réussi à rentrer par la petite porte chez Frys, c'est via l'iPod, et surtout grâce à son iPod+HP, la marque HP étant particulièrement bien diffusée. HP et Apple, deux des plus grandes entreprises nées dans la région. Deux visions différentes du monde de la Silicon Valley.

Alors, ces nerds… des ballots ? En tout cas, c'est bien un drôle de Zoo qui s'offre ici au visiteur en fin de semaine.

Dominique Piotet

08 octobre, 2004

Philippe Kerignard

Test upload blog par FTP,.....
...super ça marche !!

Mobiles get magnifier software

Article
A screen magnifier for mobile phones has been developed by a Spanish company to enable visually impaired people to better use mobile phones.

Mobile Magnifier enlarges text by up to six times
Called Mobile Magnifier, the software is designed to be used on Series 60 handsets running the Symbian operating system.

The developer, Code Factory, says it hopes the first commercially available copies will be on the market in about three weeks' time.

"We've been making accessibility products for mobiles for a year and a half now," Code Factory CEO, Eduard Sanchez Palazón, told BBC News Online.

"We already have applications for people who are totally blind and now we have one for people with low vision."

Mobile Magnifier was user tested by volunteers from the Spanish blind people's organisation, ONCE.

As a result of their feedback the software now has a 'reverse' mode so that white text can be displayed on a black background.

In addition, users can select from six different colour schemes and can magnify text by up to six times.

Compatible handsets
Nokia 3620
Nokia 3650
Nokia 3660
Nokia 6600
Nokia 6620
Nokia 7610
Nokia 7650
N-Gage
N-Gage QD
Siemens SX1
The application can either be used as a stand-alone tool or as a plug-in alongside Code Factory's screen-reader, Mobile Speak.

The software splits the mobile's screen horizontally in two so that half displays enlarged text or graphics and the other half is normal size.

"Some of our testers said the device's screen was too small, but they soon got used to it," said Mr Sanchez Palazón.

Although the RNIB has yet to evaluate the product, its technology specialist, Steve Tyler, doubts whether split-screen magnification is what visually impaired users actually want.

"I think that what most people have in mind when they ask us for magnification is to have the whole screen enlarged," he said.

"I'm just not sure how much room there is on a mobile screen to do what they've done."

Mr Tyler says that the best solution in the long term is for manufacturers to make their products accessible to everyone without having to add extra software.

RNIB says mobile telecoms can be a barrier for people with low vision
But having the necessary standards agreed and then implemented can take as long as six years.

"In the meantime, people are telling us they want to have something they can use today," he said.

"We fought battles in the past to make PCs accessible. I think mobile communications will be the next one."

Code Factory is still in the final stages of negotiating agreements with distributors and is unable to say how much Mobile Magnifier will cost.

Google & Symfonic Both Launch SMS Search Tools

Article
Google & Symfonic Both Launch SMS Search Tools: "Today, Google announced the beta release of Google SMS, a new offering that enables people who are away from their computers to quickly and easily get instant, accurate answers to specialized queries through text messaging. Using a cell phone or handheld device such as a Blackberry, users can obtain local business listings, dictionary definitions, product prices and more--all available through Google.
Google SMS returns specific information related to a user's query as a text message to their mobile device. For example, to find a pizza joint in a specific neighborhood, users can send a text message to the 5-digit U.S. shortcode 46645 (also GOOGL on most mobile phones) with the query and city or query and zip code, i.e. [pizza 94043], and immediately receive the name, address, and phone number of local pizzerias in that area. This type of concise information can help mobile users find exactly what they're looking for anywhere and any time.
Using Google SMS, people can:
. Find names, addresses and phone numbers for local businesses and residences
. Look up dictionary terms to get definitions, expand their vocabularies, or even settle bets
. Compare online product prices with those they find in retail stores, i.e. to find the price of an iPod, users can enter the message [price ipod 20gb]
Google SMS, currently in beta on Google Labs at sms.google.com extends the reach of Google's search services to mobile phones and devices, while staying true to Google's mission to bring more of the world's information directly to users. Google SMS currently works with wireless providers in the U.S. only, including AT&T Wireless, Cingular, Nextel, T-Mobile, Verizon, and Sprint PCS."

06 octobre, 2004

AT&T lance un service de téléchargement musical pour les téléphones portables

Article
Un de plus ! L’opérateur de télécommunications AT&T Wireless vient de faire son entrée sur le marché de la musique en ligne, avec un service de téléchargement spécifique destiné aux utilisateurs de téléphones portables. En partenariat avec le fournisseur de contenu Loudeye, AT&T marche sur les traces du japonais Omron Entertainment, qui a lancé il y a peu un service identique (lire à ce sujet l’article de Jap’Press du 01.10.2004).

Côté offre, AT&T n’innove pas vraiment, avec 750 000 titres téléchargeables au prix unitaire de 0,99 dollar et des albums complets pour lesquels il faudra débourser un minimum de 9,99 dollars. L’utilisateur aura accès depuis l’écran de son téléphone portable à un outil de recherche permettant d’écouter des échantillons de musique de 30 secondes.

Là où le bât blesse, c’est que l’utilisateur ne peut pas télécharger de morceaux directement depuis son mobile, mais doit obligatoirement passer par son PC, pour télécharger les titres. Son téléphone sert simplement à la pré-sélection des morceaux (vivement les téléphones portables avec disque dur incorporé !) et au règlement des téléchargements, puisque ceux-ci son comptabilisés sur la facture téléphonique de l’abonné.

NTT DoCoMo has formally announced its 3G/WLAN phone -- and has made it impossible to use on public hotspots

Article
The carrier first broke its plans in June, but held a press conference touting the handset, the N900iL, in Tokyo on Tuesday. The handset, made by NEC, also requires a particular NEC IP telephony server, which presumably hooks up to a network sold by DoCoMo or its parent NTT.

The phone can make voice calls over Wi-Fi inside offices, essentially acting as a wireless PBX extension, and also features an instant-messaging application with a presence function letting users check co-workers' availability. But not surprisingly, DoCoMo's made the phone somehow incompatible with any other Wi-Fi networks than those installed expressly for the device, though it said it was considering adding support for its M-Zone public hotspots.

The way the carrier's approaching Wi-Fi shows how operators perceive the technology at this point: as more of a menace than an ally. Even carriers that are building huge hotspot networks, like T-Mobile, are wary of Wi-Fi being used in any way that will erode their bread-and-butter mobile voice revenues -- or, at least, until they can find a way to adequately charge and bill for it.

DoCoMo is the only carrier to announce VoWi-Fi plans, and most every handset that's been announced as including Wi-Fi doesn't have built-in VOIP support (though it probably won't take outside developers, or somebody like Skype, to come up with software for it), since the motivation for it -- cheap, or even free, voice calls -- runs counter to carriers' desire for revenues.

Operators are going along with Wi-Fi data in handsets because not doing so would risk ceding the wireless data market to Wi-Fi only devices. Having Wi-Fi handsets offers carriers an opportunity to not only collect Wi-Fi charges from users, but also encourages their use of mobile data networks. It's not a question of Wi-Fi or 3G (or GPRS or EDGE), it's a question of getting the technologies to work in tandem, and carriers are beginning to recognize that, at least for data. Rate this article
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But voice is a trickier proposition, and until they can figure out a way to integrate VoWi-Fi with their cellular voice networks, carriers will follow DoCoMo and do their damndest (likely with the help of device manufacturers) to keep VOIP out of Wi-Fi handsets.

05 octobre, 2004

Philadelphia's 135 square mile mesh project

CNN has a good article on Philadelphia's city-wide mesh network project :

"The ambitious plan, now in the works, would involve placing hundreds, or maybe thousands of small transmitters around the city -- probably atop lampposts. Each would be capable of communicating with the wireless networking cards that now come standard with many computers.

Once complete, the network would deliver broadband Internet almost anywhere radio waves can travel -- including poor neighborhoods where high-speed Internet access is now rare.

And the city would likely offer the service either for free, or at costs far lower than the $35 to $60 a month charged by commercial providers, said the city's chief information officer, Dianah Neff."

TeleAnalytics analyse le marché des HotSpot dans le monde

Article
Cette analyse, basée sur 22 mois d'utilisation de 520 HotSpots de quelques 320 opérateurs dans 28 pays à travers le monde, est considérée comme la plus approfondie à ce jour pour ce qui est de l'implantation des HotSpots.

Des infos clés :

En juin 2004, il y avait 25804 hôtels proposant un accès haut débit, avec 91% d'entre-eux en utilisant un ou plusieurs HotSpots;
15662 de ces hôtels sont basés aux Etats-Unis;
En juin 2004, Marriott International, Inc. est la chaîne ayant le plus d'accès, avec 314000 chambres équipées. Holiday Inn est juste derrière avec 288000 chambres;
L'utilisation d'un HotSpot dans l'hôtel dépend fortement de la couverture en Wi-Fi;
Le Wi-Fi est arrivé tardivement dans les aéroports, mais la croissance d'utilisation est phénoménale. Il n'y a pourtant qu'une fraction des voyageurs qui utilisent les HotSpots;
L'utilisation des HotSpots en dehors du monde hôtelier n'est pas uniforme. Il n'est pas rare de trouver certains HotSpots publics (hors hôtels) accueillants seulement 7 connexion par semaine. Il est plus difficile de trouver des HotSpots publics (hors hôtels) avec plus de 300 connexions par mois;
La croissance d'utilisation des HotSpots publics (hors hôtels) n'est pas uniforme non plus.

Blogs and Jobs

Blogging is spreading in the job market,and this article takes a look at the trend.From the article."Job seekers use blogs to establish a strong online presence, display their skills and advertise their availability.For many just out of college, the blog is an essential networking tool because it is common for bloggers to link back and forth to others with recent posts.Corporate recruiters, in turn, use blogs to draw in qualified candidates, and they search for potential hires by reading bloggers who write about topics relevant to a particular industry.A driving factor behind job market blogging is the search engine Google, said Elizabeth Lawley, associate professor of information technology at the Rochester Institute of Technology. "If you are thinking of interviewing someone, it's almost standard now to Google them online and see what you find," Lawley said."If that person has a blog, it's usually the first thing that comes up."

The art of reBlogging

reBloggers
They use ReBlog, a tool that facilitates the process of filtering and republishing relevant content from many RSS feeds. reBloggers subscribe to their favorite feeds, preview the content, and select their favorite posts. These posts are automatically published through their favorite blogging software.
The system --publicly available as an Open Source project-- was developed by Michael Frumin for Eyebeam R&D to create a community site focused mainly on art and technology, but here and there are posts about politics, alternative comics, or society.
It might sound simple, but you don't just select a given content, you also select the way the reblogged author presented that content, the way it commented or illustrated it (though the system gives you the possibility to add pictures, text, or comments.)
The challenge then is to create a rhythm between strong visuals and interesting texts, while mixing the topics in an equilibrated 'montage.'
The system systematically gives credit to the original post, but not mechanically as the software allows the reBlogger to choose the link to use for 'top of the post' status.
The Eyebeam ReBlog invites guests to try the system during a couple of weeks or so. Tom Moody and Tim Shey wrote their thoughts about the experience and another guest reblogger, Beverly Tang, said it all when she relaunched her own blog as a reBlog."

Is this Nokia mobile-tv ?

Article
Nokia stopped the development of its 7700 media device last spring when it had get busy cranking out more medium priced handsets. Yet, Nokia is going all out pushing mobile television development and deployment.

Obviously Nokia needs to have a mobile phone with tv-receiver and large, high quality screen available when commercial mobile tv-broadcasts start rolling.

Last week Finnish Mobile-tv consortium decided to start a friendly user test (FUT) in two weeks. The test will involve 120 volunteer named by the companies participating in the project. Nokia, Elisa, Sonera, MTV3, Nelonen and Digita will all name their own testers.

“We have shown that the DVB-H-based technology works. Now we are looking for viable business cases,” says Seppo Sutela, the manager of the mobile-tv effort at Nokia Venture Organization.

Sutela is enlarging the core team of 80 people working on mobile-tv. He says nothing about the future mobile-tv devices. The FUT uses Nokia 7700 with tv-modification that fits in the battery slot. There are enough 7700’s around for testing purposes, Sutela says.

Ewan Spence, a senior administrator of All About Symbian website, has posted a photograph of new Nokia phone.

Spence writes: “Here's a few more shots of what is being tentatively labeled the Nokia 7710. We're making an educated guess that this is the "evolution" of the 7700 Media Phone that Nokia were showing off earlier this year. It's clearly running the Series 90 interface, but we also hear that there's no on board microphone or speaker - it's headsets only for making phone calls. No sign of a keyboard either.

Vodafone to have a selection of 10 3G phones

Article
Nokia today announced that Vodafone Group has selected the Nokia 6630 phone as the latest addition to its 3G WCDMA phone portfolio. Fully customized for Vodafone, the Nokia 6630 delivers the high-speed benefits of 3G to consumers with a megapixel camera and advanced smartphone features.

Meanwhile the Financial Times reports that Vodafone has ordered millions of 3G phones. The world’s largest mobile operator is to have ten different phone models from manufacturers.

Besides Nokia the list of vendors includes Sharp, Motorola, NEC, Sony Ericsson and Samsung.

The Nokia 6630 offers always-connected email, the possibility to download and view email attachments while on the move, mobile broadband access to multimedia content, live video streaming and video conferencing.

"We have been working closely with Vodafone to ensure their customers can use the Nokia 6630 to take full advantage of the high-speed 3G networks," said Anssi Vanjoki, Executive Vice President and General Manager, Multimedia, Nokia

The Nokia 6630 will be available through Vodafone stores, including Japan. Earlier Nokia has announced that this model will be available during Q4.

The Nokia 6630 is based on Symbian OS. It is a tri-band phone for GSM 900/1800/1900, EDGE and WCDMA networks. Weighing 127 grams and measuring 110 x 60 x 20.6 mm, it is the world's smallest megapixel phone for GSM and WCDMA networks.

Cingular talks to customers with Nokia 6620

Article
Timo Poropudas

Cingular Wireless is offering a software application intended to help the visually impaired make full use of their cell phones.

The Talks application works only with the Nokia 6620 phone converts menus, instructions and on-screen content into speech for output. The voice can be heard on the phone's internal speaker or through a headset.

The Talks include a voice version of caller ID, call logs, a calendar, and the ability to maintain and dial numbers from contact list.

The software was developed in conjunction with ScanSoft, reports News.com.

"This is the first advanced cell phone released in the U.S. that allows users to access all of its many features through speech output," said Paul Schroeder, vice president of the program and policy group at the American Foundation for the Blind.

The software is priced at USD 200 without discounts or rebates. The Nokia 6620 purchased from Cingular costs USD 300 after a USD 100 rebate for customers making a two-year commitment

Sonera finally opens its UMTS network

Article
Timo Poropudas

In late September 2002 Sonera and Nokia organized a big 3G party where Nokia introduces its first 3G phone, the Nokia 6650. However, Sonera, pleading lack of handsets, did not bring out the expected 3G network date but claimed that its new mobile data services were actually 3G services.

The second largest Finnish mobile carrier, Elisa, has announced that it will start commecial 3G services in November.

Sonera will launch the commercial use of its UMTS network in twenty locations in Finland.

The data transmission rate of Sonera's UMTS network is 384 kbps at its best.

'Our aim is to have the highest quality network in Finland, regardless of the technology, so that our customers can use the services they wish with the devices they choose. We believe that by opening our UMTS network in twenty locations, we offer the most extensive 3G service in Finland right from the start. It has been important for us to ensure that our services operate well in different mobile networks and that the changeovers from one network to another are seamless,' says Anni Veps�l�inen, President of TeliaSonera Finland.

Sonera's customers will be able to use the faster data transmission offered by the UMTS network by acquiring a UMTS phone and a Sonera 3G card from a Sonera dealer.

Voice calls and text messages in the UMTS network will cost the same as in the GSM network. Likewise, data transmission will be priced according to the current pricing regimes as regards both consumer and corporate services.

The network will be expanded"

Sonera finally opens its UMTS network

Article
Timo Poropudas

In late September 2002 Sonera and Nokia organized a big 3G party where Nokia introduces its first 3G phone, the Nokia 6650. However, Sonera, pleading lack of handsets, did not bring out the expected 3G network date but claimed that its new mobile data services were actually 3G services.

The second largest Finnish mobile carrier, Elisa, has announced that it will start commecial 3G services in November.

Sonera will launch the commercial use of its UMTS network in twenty locations in Finland.

The data transmission rate of Sonera's UMTS network is 384 kbps at its best.

'Our aim is to have the highest quality network in Finland, regardless of the technology, so that our customers can use the services they wish with the devices they choose. We believe that by opening our UMTS network in twenty locations, we offer the most extensive 3G service in Finland right from the start. It has been important for us to ensure that our services operate well in different mobile networks and that the changeovers from one network to another are seamless,' says Anni Veps�l�inen, President of TeliaSonera Finland.

Sonera's customers will be able to use the faster data transmission offered by the UMTS network by acquiring a UMTS phone and a Sonera 3G card from a Sonera dealer.

Voice calls and text messages in the UMTS network will cost the same as in the GSM network. Likewise, data transmission will be priced according to the current pricing regimes as regards both consumer and corporate services.

The network will be expanded"

Ericsson speeds up 3G in China

Article
Ericsson will release an evolution upgrade to WCDMA in China that will make 3G mobile phone services faster and more robust.

The new technology, called HSDPA (High Speed Downlink Packet Access), is capable of transmitting data up to 14 Mbps over WCDMA network over a 5MHz bandwidth in WCDMA downlink.

Ericsson CEO Carl-Henric Svanberg said that China will become Ericsson's biggest market in the next decade and a major user of HSDPA technology. China is expected to have more than 118 million 3G subscribers by 2008, according to Svanberg.

At the current moment Japan's NTT DoCoMo is the only 3G mobile operator piloting the HSDPA service. The company plans to upgrade its 3G service by introducing HSDPA over its WCDMA network early next year.

DoCoMo develops prototype micro fuel cell

Article
Timo Poropudas

NTT DoCoMo announced Thursday the joint development of a prototype micro fuel cell for 3G FOMA handsets. The prototype, manufactured by Fujitsu Laboratories Ltd., is expected to greatly extend FOMA handset usage time once it goes into commercial production.

The micro fuel cell is aimed at meeting user demands for more convenient handsets with greater power capacity, as well as reduced environmental impact.

Power consumption demands are rising as FOMA users take advantage of new services and handset features, including flat-rate monthly billing for data services, such as i-motion and i-appli, and videophone.

DoCoMo is addressing this issue in part by increasing the capacity of its lithium-ion batteries, the most commonly used battery in handsets today.

The micro fuel cell is a standalone device shaped like a cradle for recharging handsets. It generates electric power by combining hydrogen and cheap, environmentally harmless methanol to produce a chemical reaction. Hydrogen ions are extracted from the air via a layer sandwiched between positive and negative electrodes.

The prototype has the same basic specifications of other FOMA handset rechargers and will be compatible with all FOMA handsets. Further development of the prototype is expected to be completed by the end of fiscal 2005.

The size is 152 x 57 x 16 mm and it weights 190 grams with output of 5.4 V, 700 mA.

WiFi: Deux laboratoires de R&D aux U.S adaptent WiFi au transport d’énergie dans la bureautique

Article
On savait déjà que toutes les versions évolutives de WiFi convergaient vers des solutions novatrices à tel point que certains y voyaient déjà un futur concept de système cellulaire en remplacement ou en complément de la 3G. Les Américains viennent de franchir une nouvelle étape avec le « WiFinergy ».

Deux laboratoires de Califormie : Wireless Energy Inc. et Energy Innovations Inc, viennent de mettre en commun leurs recherches, déjà entamées depuis cinq années en partenariat avec une université californienne. Les résultats sont plus que prometteurs. On peut ainsi transmettre des puissances « wireless » de quelques dizaines de watts sur une distance de quelques centimètres jusqu’à un mètre environ. Cette nouvelle application qui trouve son origine dans la spécification du WiFi ouvre des marchés vertigineux dans la bureautique pour tous les équipements filaires ou les objets portables. Cette évolution de la technologie permet, entre autres, de supprimer les câbles d’alimentation entre le « secteur » 220 volts et les PC, les imprimantes et autres périphériques.

Un progrès auquel s’intéressent déjà les grands fabricants d’équipements informatiques mais aussi tous ceux qui travaillent sur le secteur wireless des équipements domestiques pour les services à l’habitat.

Du retard dans la gestion des connaissances aux avancées du travail collaboratif

Article
Du 11 au 13 octobre prochain se tiendra au Palais des Congrès, le KM Forum*. Salon de référence dans l'univers de la gestion des connaissances de l'entreprise, cet événement évoluera cette année sous le signe du travail collaboratif. Richard Collin, fondateur du KM Forum, a co-écrit pour l'occasion, avec deux autres spécialistes (Serge Levan et Gilles Balmisse), un livre blanc sur « les enjeux et la réalité française du travail collaboratif et des communautés de pratiques ».

Un ouvrage intéressant qui souligne l'importance des projets en réseaux, et de ces « 70 % de la population de la population active (…) composée de professionnels de l'information. Des professionnels qui s'ignorent mais qui (…) lisent, analysent, transfèrent et échangent au quotidien des masses considérables d'information que chacun « traite » (…) ». Qui d'entre nous ne se sentirait pas visé par cette analyse ?

Si l'on rechigne toujours un peu aux processus, au partage de son savoir avec autrui, aux modes d'accès parfois fastidieux des logiciels de partage des connaissances, chacun reconnaît l'intérêt d'avoir accès rapidement à l'information qu'il recherche, que ce soit pour son travail personnel ou dans le cadre d'un projet business spécifique.

Dans le premier cas, il serait difficile de nier que « notre ami Google » nous donne rapidement accès à 70 % de l'information que l'on peut trouver sur le Web… D'autant que cet « ami » a maintenant des petits cousins comme « Google Actualités », qui propose plus de 500 sources d'informations francophones mises en ligne presque en temps réel. Cela comble le retard pris par les fameuses « six semaines » que met le robot Google à balayer le Web (plus de 50 milliards de pages, tout de même !)… Et rend très compétitif, le marché des solutions de veille individuelle.

Dans le second cas, le protocole Internet (IP) donne toute son efficacité aux solutions de travail collaboratif. Dans le domaine de la finance, les extranet ou sites dédiés à un projet spécifique (fusion, acquisition, gestion de financement structuré…) sont ainsi en phase de devenir une condition sine qua none pour la gestion réussie d'un projet. La raison ? Des gains sensibles de productivité !

La manière ? Plutôt que d'échanger des kyrielles de messages à un ou plusieurs destinataires, on met en place un extranet dédié à un projet qui, en fonction des droits de chacun, donne un accès exhaustif, structuré et hiérarchisé, à l'ensemble des documents produits et/ou communiqués pour un projet. Outre la traçabilité des informations, ces types de solutions offrent l'opportunité aux collaborateurs d'un projet d'avoir accès à toute l'information dont ils ont besoin, depuis n'importe quelle connexion Internet de la planète !

BNP Paribas a ainsi lancé un espace de travail collaboratif sécurisé pour faciliter le montage d'opérations et le suivi de ses grands projets clients. La technologie retenue est eRoom (ECM/Documentum). D'autres solutions existent cependant : Groove (Groove Networks), Livelink (Opentext), QuickPlace (IBM/Lotus), Sharepoint (Microsoft)… Le KM forum devrait notamment vous permettre de vous faire une opinion plus avancée sur le sujet.

L’UMTS d’Orange débarque en Bretagne

Article
L’opérateur de téléphonie mobile Orange vient d’ajouter un nouveau nom à sa liste des villes pilotes UMTS. Depuis le mois d’avril dernier, Orange s’est attelé au lancement du service dans les plus grandes villes de France : Toulouse, Lille, Paris, Lyon, Strasbourg, Cannes, Bordeaux… Et aujourd’hui Rennes !

Comme à chaque fois, l’opérateur a recruté des testeurs qui seront chargés de tester les services de la téléphonie mobile troisième génération : le fonctionnement du réseau, la distribution, la facturation, le service client et le service après-vente… Les heureux testeurs, choisis parmi les abonnés d’Orange, seront chargés de passer au crible toutes ces composantes.

Ils pourront profiter des contenus vidéo spécifiquement dédiés à un usage mobile, fournis par Orange via ses partenaires. Editeurs, producteurs de programmes audiovisuels, agrégateurs de contenus, détenteurs de droits audiovisuels ont ainsi choisi de s'associer à la préparation du Pilote Orange : LCI, AFP, M6, TF1, Allociné, Paris Première, MCM, Météoconsult, Gameloft, Be Tomorrow (contenus jeux), Wonderphone, Virgin, etc.

Parallèlement à ce lancement, Orange et Renault se sont associés pour présenter des solutions UMTS dans une voiture multimédia. Orange apporte, entre autre, sa compétence en matière de services, comme par exemple, l'adaptation de son portail 3G pour optimiser l'affichage sur un écran DVD.
Des Renault " auto mobile haut débit ", équipées d'origine de lecteurs DVD et écran intégré pour les passagers arrière, ont été équipées de connexion Internet mobile 3G.

04 octobre, 2004

Kameleon : une puce qui envoie des contenus multimédia via Bluetooth

Article
Daniel Moreno a-t-il trouvé son digne successeur ? Il est un peu tôt pour l’affirmer, mais Fabien Beckers, PDG de la société Kameleon, pourrait être inscrit sur la liste. Depuis six semaines, le musée de cire Tussaud, à Londres, a camouflé près de ses sosies célèbres une puce qui transfère aux visiteurs, via Bluetooth (ondes radio de courte portée), des informations multimédia sur les mannequins qu’ils observent.

Muni d’un processeur ARM 9, de 32 Mo de mémoire et d’un connecteur Bluetooth, le système Kameleon permet ainsi de transférer en quelques secondes des informations multimédia aux détenteurs de téléphones mobiles ou agendas électroniques qui déambulent à quelques mètres de son emplacement. Seule nécessité : que les terminaux mobiles soient également Bluetooth ! Prouesse technologique, l’interconnexion se fait en 0,2 seconde, contre environ 10 secondes habituellement.

Conçue à l’origine pour aider les personnes mal voyantes à mieux se repérer dans une ville, la puce Kameleon a un vaste champ d’applications possibles comme le transfert d’extraits de film, de musiques, de présentations produits, relatifs au contenu d’une affiche publicitaire. La France va faire un essai avec les films. La technologie Bluetooth pourrait toutefois vite se voir concurrencer par le RFID…

Casio sort une montre G-Shock qui paie les notes d’essence

Article
Le constructeur de produits électroniques japonais Casio, la compagnie pétrolière Exxon Mobile et la société de carte de crédit japonaise JCB ont conjointement développé une montre intégrant une puce sans contact, G-Shock GWS-900. Cette montre est équipée d’une fonction de paiement électronique dans une des stations de gaz du groupe Exxon Mobile, Express, pour payer les notes d’essence. Elle sera en vente sur le marché japonais le 22 octobre, sur le site marchand de Casio.

Le service de paiement électronique dans les stations essence Express s’appelle Speedpass : le paiement s’effectué à l’aide d’un porte-clés intégrant une puce qui contient l’identifiant de l’utilisateur. L’inscription au service est gratuite. Il suffit que l’utilisateur passe ce porte-clés devant le lecteur placé sur la pompe à essence de la station, et il peut commencer à remplir son réservoir. Le paiement est débité sur sa carte de crédit, et une assurance est comprise en cas de perte. Dans le monde entier, 6 millions de conducteurs sont déjà utilisateurs de ce moyen de paiement.

La nouvelle G-Shock intègre cette fonction de paiement électronique de l’essence. Après acquisition de cette montre, l’utilisateur s’inscrit sur le service Speedpass et se dote d’une carte de crédit JCB. L’objectif de vente de Casio est de 10.000 unités par an, au prix de 26 000 yens (190 euros).

01 octobre, 2004

Who Pays for Wireless Cities ?

Article
By Deborah Asbrand
Earlier this month, Philadelphia became the latest municipality to throw its hat in the Wi-Fi ring and enjoy an image bounce that would be the envy of any presidential candidate.

Civic interest in Wi-Fi makes municipalities look sexy and modern. Less certain, however, are their chances for success as providers of emerging communications technology. Offering wireless broadband is a new course for cities and towns, say observers, and one that may not be quite as easy to navigate as the idea's popularity implies. Indeed, the City of Brotherly Love was not announcing a successful trial, or even a timeline for wider deployment—but merely the formation of an executive committee to study wireless networking options.

These days, Wi-Fi is shorthand for wireless mesh networking technology. Instead of connecting to the Internet through a cable or telephone line, users are free to roam while their PDAs and laptops ferry data packets through radio waves and across a series of fixed access points. The average range is about 50 meters. Airports, shopping malls, coffee houses, and even campgrounds are actively courting the digital crowd by offering Wi-Fi service.

One reason cities and towns appear eager to leap into the wireless fray is the inclination—and pressure—to serve their constituents. "Local governments very much want to be more citizen-friendly," says Joe Pisciotte, professor of public administration at Wichita State University and former council member and vice mayor for Wichita. That reality is why residents can now accomplish online just about any task for which they once had to traipse to city hall, from renewing drivers' licenses to obtaining building permits. "Pair that with the reality that cities are always passing the tin cup," Pisciotte says, "and why not provide a legitimate technological service like Wi-Fi to citizens and perhaps also get new revenue sources?"

The wrinkle in the public-service spin on Wi-Fi is who will bear the cost for the service. The answer splits proponents into two camps, and both are problematic. On one side are those who see wireless broadband as a public amenity—a basic service that cities and towns should provide free to residents as they do, say, trash pickup. Missing from this scenario is consensus on how municipalities, perennially short on funds, will pay the Wi-Fi tab. Among the models being considered are a payout from the general allocation fund, or, for larger municipalities, the sale of bonds. Philadelphia officials are considering the imposition of new tourist fees to defray the city's Wi-Fi costs.

In the other camp are those who eye Wi-Fi as a potential revenue generator. Proponents of this model say cities and towns could negotiate affordable residential Wi-Fi rates as part of the bundle of wireless broadband services they purchase for local government departments, such as fire, police, and schools. A more hands-off approach, already being tried in some places, is to contract out the installation and management of local Wi-Fi in exchange for franchise fees paid by the contractor.

TF1, Citroën et Dibcom font une démonstration de TNT embarquée

Article
Au Mondial de l'Automobile, la télévision numérique terrestre a fait son entrée avec une démonstration organisée par le constructeur Citroën, le groupe TF1 et la société DibCom. Cette dernière, qui propose des solutions de réception mobile, a lancé sur le salon la première solution de réception DVB-H (Digital Video Broadcasting : Handhelds) sur PC au monde. Ce standard de télévision numérique terrestre est spécialement destiné aux petits écrans des appareils mobiles (ordinateurs de poche, PDA, téléphones, etc.)

DibCom a placé sur un ordinateur portable à l'intérieur de la voiture sa puce DIB3000-MC, capable d'intercepter le signal de la TNT en situation de mobilité. Le système fonctionne jusqu'à 250 kilomètres / heure, selon Dibcom.

Il y a quelques semaines, Dibcom avait déjà frappé un grand coup en démontrant au salon américain IBC la première implémentation de sa solution DVB-H sur PC, en utilisant le Codec Video Windows Media 9 de Microsoft pour la réception de la TV mobile.

Après le PC portable, Dibcom travaille aujourd'hui à la réception de la TNT sur des PDA et des téléphones mobiles. Seulement, peut-on dire que le service intéresse-t-il réellement les utilisateurs ? Selon un sondage mis récemment en ligne sur le site de l'Atelier, pas vraiment : ils n'ont été que 9 % à juger cette application de télévision sur téléphone mobile intéressante